Bronce de Massalia. Toro al paso.

mide 18x15,5 y pesa 2,5 gr

Cabeza de tanit a izq

Caballo al paso encima B girada 270º

Alguien sabe algo??

La he limpiado un poco sabeis ahora algo.

yo diria que es una moneda cartaginesa, voy a buscar a ver si la encuentro por internet, salut!!

tiene la pinta de ser una moneda libiofenicia,,pero no se cual es ,,pienso que anterior al 300,eso es lo que me viene a la cabeza ,,pero realmente no lo se ,,supongo que alguien sabra algo mas y te lo dira

Como os habreis dado cuenta no es un caballo si no un toro.

Sobre el lomo lleva simbolo o letras griegas, sobre la cabeza lleva otras y delante lleva otra y varios puntos debajo de esta, no se cuantos ya que no quiero terminar de limpiarla hasta saber de que moneda se trata, a mi me gustan las monedas con tierra.

Un saludo.

esto es lo que conseguido transcribir.

Un saludo

MASSALIA - MARSEILLE (IIIe - Ier siècles avant J.-C.)


Bronze au taureau passant (hémiobole ?), (PB, Æ 15) - c. 121-49 AC.
N° v15_0148

Cliquez sur l'image pour l'agrandir. Phase ou Classe : groupe 4, série 23
Diamètre en mm : 15 mm
Axe des coins : 6 h.
Métal : Bronze
Poids observé : 1,89 g.
Poids théorique : 1,80 g.
Poids étalon : campanien, réduit

Rareté : R État de conservation : SUP Prix de départ 115.00 €uros
(env. 754.35 FRF) Prix d'estimation 230.00 €uros
(env. 1508.70 FRF)
AVERS Légende Grecque : [D].
Description : Tête laurée d'Apollon à gauche, les cheveux longs.

REVERS Légende Grecque : MASSA/ P// [PK].
Description : Taureau cornupète passant à droite.

N° dans les ouvrages de référence : LT.- - BN.1927 - Br/M.- - Br/L.- - MHM.67 /1, p. 104 (28 ex.)
Extrait Bibliographique : L. Chabot, Le monnayage péri-massaliète et la pseudo-chôra, Mélanges J.-B. Colbert de Beaulieu, Paris 1987, p. 195-209.

Description état de conservation : Magnifique patine vert olive avec un très beau portrait. Taureau élancé au revers. Flan irrégulier. Frappe un peu molle au revers.

Commentaires à propos de cet exemplaire :
Ce type était donné par L. Chabot aux Saluvii (cf. p. 209, n° 1). Mêmes coins que l’exemplaire décrit par L. Chabot.

Commentaires à propos de ce type monétaire :
Louis Chabot, loc. cit. p. 197 signale que Pierre Carlo Vian avait déjà noté la rareté de ces bronzes si particuliers dont une forte concentration a été relevée dans la région de Cavaillon. Claude Brenot Lyon, op. cit., p. 38 donne ces bronzes à Marseille pour la 23e série, la dernière avant la reddition de la cité à César en 49 avant J.-C. G. Depeyrot suit cette attribution.

Historique :
Marseille, la " Massalia " des Grecs, fondée par les phocéens en 600 avant J.-C., est née de la volonté des grecs de promouvoir des comptoirs commerciaux afin de rivaliser avec les Carthaginois et les Etrusques pour la domination de la Méditerranée Occidentale. La fondation de la cité est-elle même mythologique. Au moment où le jeune phocéen, Protis, chef d'une expédition abordait dans une calanque, il fut reçu par Nannos, roi des Ségobriges et épousa sa fille Gyptis. Le grec reçut comme dot une calanque autour du Lacydon, port naturel situé à l'emplacement du Vieux Port actuel. Marseille n'est absolument pas une création celtique ou gauloise et appartient au monde grec. Grâce à sa métropole, la colonie se développa et au début des guerres Médiques (494-479 avant J.-C.) reçut un appoint de population venant de sa métropole avec des gens qui fuyaient le danger perse. Les grecs qui maîtrisaient parfaitement les règles de navigation maritime et le goût du commerce implantèrent des comptoirs ou colonies sur les côtes occidentales de la Méditerranée d'Emporium (Aumpurias) à Nikaia (Nice) en passant par Agathè (Agde), Olbia (Hyères) et Antipolis (Antibes), sans oublier celui d'Alailia (Aléria, Corse), fondé en 565 avant J.-C.. Les massaliotes essayèrent avec plus ou moins de succès de commercer avec l'arrière-pays et les tribus salyennes. Ils fondèrent néanmoins les postes avancés d'Avenio (Avignon) et de Cavaillo (Cavaillon). Entre le IVe et le Ier siècle avant J.-C., le golfe du Lion est souvent comparé au " golfe phocéen " ce qui montre bien le rôle joué par les commerçant et les marins de Massalia. Marseille, dès l'origine doit faire face à un double danger qui fera sa force : intérieur, elle doit lutter contre les tribus indigènes ligures ; extérieur, elle doit affronter la puissance maritime carthaginoise qui étend son hégémonie sur les îles de la Méditerranée Occidentale, Corse, Sardaigne, Sicile et Îles Baléares. Le pouvoir politique est entre les mains d'une oligarchie grecque composé du Conseil des Quinze et d'une Boulé de 600 membres. Très tôt, dès le VIe siècle, les massaliotes se sont placés sous la protection d'Apollon delphien et d'Artémis qui se retrouvent sur les monnaies de la cité. Un temple daté de 530 avant J.-C., dédié à Apollon a d'ailleurs été retrouvé dans les fouilles entreprises, à partir de 1967. La prise de Phocée par les Perses, vers 540 avant J.-C., fit de Marseille une métropole qui essaima bientôt dans toute la Méditerranée occidentale, malgré la présence carthaginoise et la concurrence commerciale des Étrusques. Entre le Ve et le Ier siècle avant notre ère, Marseille et son arrière-pays connaissent un développement sans précédant. Marseille connut une grande prospérité au Ve siècle avant J.-C., grâce à la période de tranquillité en Méditerranée Occidentale après la défaite carthaginoise à Himère en 480 avant J.-C. Les Étrusques furent battus à leur tour par les Syracusains à Cumes. Pendant près de soixante-dix ans les navires massaliotes purent sillonner tranquillement les eaux de la mer tyrrhénienne. L'affaire de Sicile en 413 avant J.-C. et l'intervention athénienne puis carthaginoise, s'accompagnant de la destruction d'Agrigente, entraînèrent un grave conflit qui devait durer un demi-siècle et s'étendit à la Grande Grèce (Italie du Sud). Les IVe et IIIe siècles avant notre ère semblent être une période plus difficile, marquée par la récession économique de Marseille. Les Carthaginois s'avèrent être des concurrents redoutables tant en Méditerranée Occidentale qu'Orientale. La chute d'Athènes, les problèmes politiques et économiques que connaissent la Sicile et Syracuse en particulier, ont dû affecter le commerce massaliote. En Gaule, dans l'arrière-pays marseillais, la cité doit faire face aux incursions des peuplades ligures. Opposée à Carthage, très tôt les massaliotes recherchent l'amitié des Romains et ce dès avant le début de la première guerre Punique. Les Marseillais fourniront des trirèmes et autres quinquérèmes à leur allié romain. Pourtant, au début du IIIe siècle avant notre ère, les marseillais voit d'un mauvais œil la conquête de l'Italie du Sud (Grande Grèce) par les romains qui se termine par la prise de Tarente en 272 avant J.-C. La montée en puissance de Rome, à partir de la première guerre Punique (268-241 avant J.-C.), et le choix stratégique de Marseille, qui joue Rome contre Carthage, vont redonner, dans la seconde moitié du troisième siècle avant notre ère, un rôle prépondérant à Massalia dans le commerce international de la Méditerranée Occidentale. Le premier siècle avant notre ère marque le déclin de la cité phocéenne. Alliée privilégiée des Romains, Marseille a, grâce à eux, réussi à imposer son pouvoir dans l'arrière-pays marseillais. Les Romains en arrêtant les Cimbres et les Teutons ont sauvé le sud de la Gaule des invasions. À partir de 118 avant J.-C., la situation change, la Provincia devient une province romaine. Les marchands marseillais entrent en concurrence avec les commerçants romains en Espagne, Corse, Sardaigne et Sicile. Néanmoins les marseillais restent les alliés des romains jusqu'au Ier siècle avant notre ère. C'est le début de la guerre civile qui oppose César à Pompée en 49 avant J.-C. qui sera fatale à la cité. Alliée des Romains, Marseille ne sut pas choisir entre les deux protagonistes. César assiégea et prit la ville ne pouvant souffrir que ces voies de communication puissent être coupées entre la Gaule et l'Italie. La flotte de Marseille était encore trop importante pour qu'elle puisse tomber entre les mains de son mortel ennemi, Pompée. Conquise, la ville ne fut néanmoins pas pillée et resta un port important au début de la domination romaine. Restée hellénique, elle ne fut jamais réellement assimilée à la Gaule romaine et garda une sorte de statut indépendant, mêlée de cosmopolitisme où tous les religions croisaient toutes les races pour le plus grand bénéfice du commerce marseillais.

Por fin, pero no lo se traducir.
Gracias a todos los que os molestasteis en intentar catalogarla y para los que no ya sabeis lo que es :normas: .

Un saludo

gran moneda bass_875, enorabuena, amm y gran identificacion, tu solo la has sacado para adelante, salut!!!

No gracias , el merito no es mio, me lo han dado en bandeja.

Al cesar, lo que es del cesar.

y ahora a por otras

La traduccion del dice:

Massalia - MARSEILLE (III - I aC)

Bronce toro pasante (hémiobole?), (PB, Æ 15) - c. AC 121-49.
No v15_0148

Haga clic en la imagen para ampliarla. Fase o Grado: Grupo 4, Serie 23
Diámetro en mm: 15 mm
Ax rincones: 6 h.
Metal: Bronce
Observó Peso: 1,89 g.
Peso teórico: 1,80 g.
Peso estándar: reducción de Campania
Rareza: R Estado de conservación: A partir de 115,00 € uros SUP
(aprox. 754,35 francos franceses) estimación Precio 230,00 € uros
(aproximadamente 1.508,70 francos franceses)
   AVERE griego Leyenda:
Descripción: lauree cabeza de Apolo izquierda, el cabello largo.

      Revers leyenda griega:         
Descripción: Tauro cornupète desplazan a la derecha.

N º de referencia en los libros: LT .- - BN.1927 - Br/M.- - Br/L.- - MHM.67 / 1, p. 104 (28 ex.)
Extracto Bibliográfico: L. Chabot, La Moneda massaliète peri-y pseudo-Chora, Mélanges J.-B. Colbert de Beaulieu, París 1987, p. 195-209.
Estado de conservación Descripción: Hermoso pátina verde oliva, con un bello retrato. Toro saltó en el reverso. Flan irregular. Huelga un poco suave en el reverso.
Comentarios sobre este ejemplo:
Este tipo fue dada por el Sr. L. Chabot a Saluvii (véase p. 209, N º 1). Igual que la copia esquinas descrita por el Sr. L. Chabot.
Comentarios sobre este tipo de moneda:
Louis Chabot, loc. cit. p. 197 Pierre Carlo Vian dijo que ya había tomado nota de la rareza de estos bronces si los individuos con una alta concentración se detectó en la región de Cavaillon. Claude Brenot Lyon, op. , Págs. 38 da a estos bronces en Marsella por la 23 ª serie, la última antes de la entrega de la ciudad al César en 49 aC-GC Depeyrot sigue esta atribución.
Historial:
Marsella, la "Massalia" griegos, fundada por el phocéens en el año 600 aC, nació del deseo de los griegos para promover el comercio con el fin de competir con los cartagineses y los etruscos a la dominación del Mediterráneo Occidental . La fundación de la ciudad en sí es mitológica. Cuando el joven Phocéens, Protis, jefe de una expedición dirigida en una cala, fue recibido por Nannos, rey de Segobriges y se casó con su hija Gyptis. Griego fue un punto que cala en todo el Lacydon, puerto natural en el sitio del viejo puerto de hoy. Marsella no es una creación celta o galo y pertenece al mundo griego. A través de su ciudad más grande, creció la colonia y principios de las guerras médicas (494-479 aC) recibió el apoyo de la gente de su ciudad con personas que huyen de la persa peligro. Los griegos, que domina perfectamente las reglas de la mar y el sabor implantèrent comercial contadores o colonias en la costa oeste del Mediterráneo Emporium (Aumpurias) en Nikaia (Niza), a través de Agathe (Agde), Olbia (Hyères) y Antipolis (Antibes), incluido el de Alailia (Aleria, Córcega), fundada en 565 aC. El Massaliotes intentado con éxito variable a los intercambios comerciales con el interior y las tribus Salyens. Sin embargo, puestos de avanzada de fundada Avenio (Aviñón) y Cavaillo (Cavaillon). Entre el cuarto y el primer siglo aC, el Golfo de León es a menudo comparada con "phocéens Golfo", que muestra el papel desempeñado por la marina mercante y Massalia. Marsella, desde el principio frente a una doble amenaza que su fuerza interior, que debe luchar contra las tribus indígenas de Liguria; fuera, debe enfrentar el poder marítimo cartaginés, que se extiende su hegemonía sobre las islas del Mediterráneo occidental, Córcega, Cerdeña, Sicilia y las Islas Baleares. El poder político está en manos de una oligarquía compuesta por el Consejo Griego de los Quince y un balón de 600 miembros. Muy temprano, en el siglo VI, el Massaliotes se encontraban bajo la protección de Apolo y Artemis delphien que se encuentran en las monedas de la ciudad. Un templo que data del 530 aC, dedicado a Apolo también se encontró en las excavaciones, desde 1967. Teniendo Phocaea por los persas, hacia 540 aC, era una metrópoli de Marsella antes de que los enjambres en el Mediterráneo occidental, a pesar de la presencia cartaginesa y etrusca competencia. Entre el quinto y el primer siglo aC, Marsella y sus alrededores son el desarrollo sin precedentes. Marsella gozaba de gran prosperidad en el siglo V aC, durante el período de calma en el Mediterráneo occidental después de la derrota cartaginesa en Himer en el año 480 aC Los etruscos, a su vez fueron derrotados por Syracusains en Cumae . Durante casi setenta años Massaliotes buques podría cumplir las tranquilas aguas del Mar Tirreno. El caso de Sicilia en 413 aC y luego la intervención cartaginesa Atenas, acompañada de la destrucción de Agrigento, condujo a un grave conflicto que duró medio siglo y la propagación de la Magna Grecia (Sur de Italia). El cuarto y tercer siglos aC parece ser un período difícil, marcado por la recesión económica en Marsella. Cartagineses parecen ser tan formidables competidores en el Mediterráneo occidental qu'Orientale. La caída de Atenas, los problemas políticos y económicos que enfrenta Siracusa y Sicilia, en particular, han tenido que afectar al comercio Massaliotes. En la Galia, en el interior de Marsella, la ciudad se enfrenta a las incursiones de las tribus de Liguria. En contra de Cartago, a principios Massaliotes buscar la amistad de los romanos y antes del inicio de la primera guerra púnica. El Marseillais proporcionar trirremes y otros quinqueremes sus aliados romanos. Sin embargo, al comienzo del tercer siglo aC, Marsella tiene un tenue vista de la conquista del sur de Italia (Magna Grecia) por los romanos, que concluye con la toma de Tarentum en 272 aC El ascenso de Roma, a partir de la primera Guerra Púnica (268-241 aC), y la elección estratégica de Marsella, que juega en contra de Cartago, Roma, dará en la segunda mitad del tercer siglo antes de nuestra época, un papel que Massalia en el comercio internacional en el Mediterráneo occidental. El primer siglo aC marca el declive de la ciudad. Aliado privilegiado de los romanos en Marsella, gracias a ellos, logró imponer su autoridad en el interior de Marsella. Los romanos en la adopción de los teutones y cimbrios rescató el sur de la Galia invasión. A partir de 118 aC, la situación cambia, la Provincia se convirtió en una provincia romana. Marsella comerciantes competir con los comerciantes romanos en España, Córcega, Cerdeña y Sicilia. Sin embargo, Marsella siguen siendo aliados de los romanos hasta el siglo I antes de Cristo. Este es el comienzo de la guerra civil entre Pompeyo César en 49 aC, que será fatal para la ciudad. Aliado de los romanos, Marsella no sabían cómo elegir entre los dos protagonistas. César sitió y tomó la ciudad no puede sufrir que estos canales de comunicación pueden cortarse entre las Galias e Italia. La flota de Marsella era demasiado importante como para que caigan en manos de su mortal enemigo, Pompeyo. Conquistada, la ciudad fue saqueada y no se mantuvo, sin embargo, un importante puerto al inicio de la dominación romana. Grecia sigue siendo, en realidad nunca fue sinónimo de la Galia romana y mantuvo una especie de independencia, el cosmopolitismo de cuerpo a cuerpo donde todas las religiones cruzado todas las razas de mayor beneficio para el comercio de Marsella.

Enhorabuena Bass!